mercredi 31 janvier 2007

Chiffres de l'emploi


Aujourd'hui, lors de la séance des Questions d'Actualités à l'Assemblée Nationale, mon Collègue Alain Vidalies a interpellé le Gouvernement sur la situation de l'emploi. Il s'est notamment interrogé sur la confiance que l'on pouvait accorder aux récents satisfecits du Premier Ministre et de son Ministre de l'Emploi. En effet, il y a incontestablement un décalage entre la situation vécue par les Français et ces statistiques...
"M. le président. La parole est à M. Alain Vidalies, pour le groupe socialiste.
M. Alain Vidalies. Monsieur le président, ma question, qui s’adresse à M. le Premier ministre, porte sur la publication des chiffres du chômage, sujet qui met une nouvelle fois en évidence les manipulations statistiques dont ce gouvernement est devenu le champion incontesté.
Ainsi, les radiations administratives ont augmenté de 39 % en une seule année et les chiffres des créations d’emploi ne correspondent en rien à la baisse du chômage.
Je rappelle les 70 000 bénéficiaires de conventions de reclassement personnalisé que vous avez décidé de sortir, d’un seul trait de plume, des statistiques du chômage. Je rappelle encore les 130 000 créations d’emplois de services à la personne qui se transforment en réalité en 26 100 créations d’emplois seulement sur l’année, selon la note de vos propres services. Je rappelle enfin que le nombre de RMIstes a augmenté de 230 000 depuis quatre ans.
Bref, avec ce gouvernement, les chômeurs sortent de l’ANPE mais restent au chômage !
Le pire aujourd’hui est votre refus de publier l’enquête annuelle de l’INSEE sur l’emploi. Pour la première fois depuis 1950, un gouvernement s’oppose à la publication de ces résultats au mois de février.
Le directeur général de l’UNEDIC a lui-même qualifié cette situation de bizarre et sans précédent, en rappelant que c’est l’instrument qui permet de déterminer le chômage au sens du Bureau international du travail.
Le Gouvernement et l’UMP ne peuvent se vanter d’un taux de chômage ramené à 8,6 % de la population active tout en violant délibérément les règles de calcul respectées par tous les gouvernements depuis cinquante-sept ans !
En refusant aujourd’hui de publier les véritables chiffres du chômage, vous tentez de tromper les Français sur les véritables résultats de votre politique.
Cette manipulation n’est pas compatible avec les principes du débat démocratique et républicain. Le groupe socialiste vous demande de renoncer à ce forfait démocratique et de publier sans délai les résultats de l’enquête annuelle de l’INSEE sur l’emploi.

lundi 29 janvier 2007

Gendarmerie à Jonage


Samedi était inaugurée la nouvelle Gendarmerie de Jonage. Avec Odette Garbrecht, la Conseillère Générale du Canton de Meyzieu, je participais à cet événement. Ce nouvel équipement devrait mettre les gendarmes intervenant sur le canton dans les meilleures conditions d'action.
De fait, sur la treizième circonscription, les communes de Saint-Priest, Décines et Meyzieu sont sous la responsabilité de la Police Nationale, tandis que celles de Genas et Chassieu dépendent de la Gendarmerie de Chassieu, celles de St-Bonnet-de-Mure, Saint-Laurent-de-Mure et Colombier-Saugnieu de la Gendarmerie de Saint-Laurent-de-Mure et celles de Jons, Jonage et Pusignan de cette nouvelle Gendarmerie de Jonage.

mercredi 24 janvier 2007

Rapport 2006 de la MIVILUDES


Aujourd'hui, a été présenté le rapport d'activité de la MIVILUDES (Mission Interministérielle de Vigilance contre les Dérives Sectaires) pour 2006. En tant que membre de cet organisme je suis très fière du travail accompli encore une fois sur ce délicat sujet. C'est Jean-Michel ROULET, son Président, qui s'est chargé de cette présentation à la presse.
Voici le texte de son intervention que vous pouvez trouver en avant-propos du rapport consultable en ligne
http://www.miviludes.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_Miviludes_2006.pdf :
"En 2006, l’évènement marquant dans le domaine de la lutte contre les dérives sectaires a été la constitution de la troisième Commission d’enquête parlementaire qui s’est plus particulièrement penchée sur les dommages qu’était susceptibles de subir la santé morale ou physique des mineurs exposés à un tel risque. Si toutes les victimes des dérives sectaires doivent être l’objet de la sollicitude des pouvoirs publics, il ne fait pas de doute que les plus faibles d’entre elles, et tel est le cas des mineurs, doivent pouvoir être assurées que tout est mis en oeuvre pour prévenir le risque et pour leur venir en aide, lorsque la prévention n’a pas pu jouer son rôle.
Les pouvoirs propres de la Commission d’enquête parlementaire lui ont permis de procéder à une analyse exhaustive du phénomène, d’obtenir des informations difficilement accessibles et de dresser un bilan qui a reçu un important écho médiatique, concourant ainsi à une meilleure information du public. Les propositions contenues dans le rapport de la Commission d’enquête parlementaire vont dans ce sens et elles fournissent à la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) des orientations claires qui devront guider l’action des services publics dans les prochains mois.
De son côté, la MIVILUDES a poursuivi ses efforts pour répondre à l’attente de toutes celles et de tous ceux qui attendent de l’État une prise de position sans ambiguïté en faveur des victimes. Son rapport d’activité annuel est aussi l’occasion de tirer les enseignements de l’action passée, de mesurer les évolutions du phénomène et de s’interroger sans complaisance sur l’efficacité des efforts déployés.
Depuis sa création, il y a quatre ans, la MIVILUDES, héritière de la Mission interministérielle de lutte contre les sectes (MILS), a pu préciser son rôle et sa place dans l’action gouvernementale en matière de prévention et de lutte contre les dérives d’organisations et de personnes de plus en plus nombreuses et multiformes. Soutenue dans sa tâche par un Conseil d’orientation composé de membres du Parlement, d’universitaires, de responsables d’associations de parents d’élèves, de représentants des familles, victimes ou non du phénomène, de personnalités du monde judiciaire, médical, administratif et de spécialistes des questions sectaires, elle s’est résolument fixé pour obligation de ne jamais sortir de l’objet de sa mission dans la République laïque, s’interdisant de porter quelque jugement de valeur que ce soit sur les doctrines, les théories ou les croyances en tant que telles, mais dénonçant systématiquement les dérapages, les abus et les infractions quels qu’en aient été les auteurs ou les origines.
Dès lors, les critiques étaient prévisibles, et les tentatives visant à la museler ou à paralyser son action étaient inévitables. Il a donc fallu expliquer, notamment sur la scène internationale où les grands mouvements transnationaux mènent des actions effrénées de lobbying, pourquoi la France entendait poursuivre dans la voie de la vigilance.
Il a fallu encore rappeler que les vraies victimes n’étaient pas celles qui faisaient l’objet d’une prétendue « chasse aux sorcières », mais bien les malheureuses et les malheureux dont la vie est souvent brisée à jamais par la spirale de l’engagement sectaire, par la soumission confiante à des individus mus par l’appât du pouvoir ou du gain, ou seulement dénués de sens moral et de la moindre considération pour leurs semblables.
Il est devenu de bon ton, pour ces organisations ou ces responsables, de se poser en victimes et de nier toute responsabilité dans les malheurs de leurs adeptes. Quand ils ne peuvent plus faire autrement que de reconnaître qu’il y a un plaignant, ils n’hésitent pas à en faire une victime émissaire, un apostat initialement consentant et à présent totalement responsable de ce qui lui est arrivé.
Au surplus, l’impétrant qui entre dans un mouvement de ce type, doit en premier lieu éliminer l’homme ancien forcément mauvais qui est en lui pour se reconstruire en un nouvel humain, formaté selon les exigences du groupe et donc meilleur. Ce qui n’allait pas bien dans la vie précédente du nouvel adepte était de sa faute. Il était donc coupable à son arrivée ; il sera coupable s’il ne se plie pas aux exigences du groupe pendant son appartenance au mouvement. Il sera encore plus coupable, de trahison et de tous les pêchés de la terre, si jamais il quitte le groupe.
Il n’y a pas davantage place pour la mansuétude ou la pitié qu’il n’y a place pour la considération, la fraternité ou la générosité dans un tel système. Ce n’est même pas le cynique « chacun pour soi » qui prévaut, c’est la négation pure et simple de la dignité inhérente à tout être humain qui assure la prédominance du maître sur ses adeptes, et … malheur à celui qui sort du rang !
Il est du devoir de la République de veiller à ce que la tolérance mutuelle que se témoignent les citoyens et les communautés de personnes puisse s’exercer sans contrainte et sans considération des origines, des croyances ou des différences des uns ou des autres. Mais la République est également comptable, devant la nation, du maintien du ciment social qui suppose que nul ne s’arroge le droit de porter atteinte aux droits fondamentaux de chaque femme, de chaque homme, de chaque enfant.
La protection de tous les citoyens, des plus jeunes aux plus âgés, contre les dérives sectaires est à ce titre une obligation à laquelle l’État ne peut pas se soustraire."

lundi 22 janvier 2007

Disparition de l'Abbé Pierre


Ce matin s'est éteint l'Abbé Pierre. Comme l'a fait François Hollande, je veux adresser à ses proches mes plus sincères condoléances. Je souhaite aussi saluer son action inlassable au service des sans-abris et des plus démunis.
Le message de François Hollande : "L’Abbé Pierre a mis sa vie au service des plus démunis. Mais, s’il disparaît aujourd’hui, son appel résonnera avec la même intensité tant qu’une personne en France -et dans le monde- restera sans abri.
Mais sa force aura été d’engager un mouvement qui le dépasse lui-même. Il a créé Emmaüs ; il a suscité une multitude d’initiatives pour les mal-logés ; il a bousculé le désordre établi. Il a fait plier à plusieurs reprises des pouvoirs publics trop indifférents.
Et, au-delà des mots, des incantations et même des lois, le meilleur hommage que l’Abbé Pierre puisse recevoir, c’est la mise en œuvre d’une politique du logement garantissant effectivement un toit et une dignité pour chacun. C’est le devoir des socialistes."

jeudi 18 janvier 2007

Forums participatifs


A la demande de Ségolène Royal, candidate investie par le PS, le PRG et le MRC, de nombreux Forums Participatifs se tiennent dans l'Est-lyonnais au cours des mois de janvier et février. Les habitants de la 13ème circonscription du Rhône sont notamment invités à celui qui se tiendra à Saint-Priest sur le thème "Education, formation, accès au travail : comment garantir la même chance pour tous ?", en présence de Christian PAUL, Ancien Ministre : vendredi 2 février 2007 à 18h30 – Salle Concorde – avenue de la Gare à Saint-Priest.

mercredi 17 janvier 2007

Projet de Loi sur le Droit au Logement


Ce matin, au Conseil des Ministres, a été présenté le projet de Loi relatif au Droit au Logement Opposable, qui sera bientôt examiné par le Parlement. Un tel texte constituerait évidemment une avancée pour les sans-domicile et les nombreux mal-logés de notre pays. Pour autant on peut s'inquiéter des conditions effectives de sa mise en place.
En effet, un tel dispositif ne sera crédible et efficace que s'il s'accompagne de considérables mises en chantiers de logements neufs et accessibles aux plus démunis. Or, le Gouvernement a significativement réduit les crédits consacrés au Logement Social ces dernières années. Pire, on se souvient qu'au mois d'avril 2006 l'UMP avait tenté de faire passer un amendement qui limitait les obligations des communes en la matière. La présence de l'Abbé Pierre lors des débats de l'Assemblée Nationale et l'intervention des Députés et Sénateurs Socialistes avaient temporairement évité une telle dénaturation de la Loi SRU mais, de trop nombreux Maires, refusent encore de satisfaire à l'obligation d'atteindre 20% de Logements Sociaux. Ces deux exemples du peu de considération de la Droite pour le Logement Social prennent encore plus de sens lorsqu'on sait que les Sénateurs Socialistes et Communistes s'était déjà heurtés au Gouvernement en essayant, en vain, d'introduire ce nouveau Droit lors du débat de la Loi portant "Engagement National pour le Logement". De même, la Proposition de Loi de Thierry Repentin sur le sujet (http://www.senat.fr/leg/ppl05-038.html) n'a même pas pu être examinée.

lundi 15 janvier 2007

Lancement de la campagne en Rhône-Alpes


Samedi matin, à l'espace Albert Camus de Bron, Jean-Jack Queyranne avait convié les reponsables, Socialistes, Radicaux et Citoyens des 8 départements de la Région pour lancer la campagne de Ségolène Royal. Près de 400 participants ont donc fait le point sur les initiatives d'ores et déjà initiées. Citons parmi celles-ci le Forum Participatif qui se tiendra à Saint-Priest le 2 février prochain.

samedi 13 janvier 2007

Voeux à Saint-Bonnet-de-Mure et ailleurs...


Cette fin de semaine, le marathon des voeux dans les différentes communes de la circonscription s'est poursuivi. Vendredi soir plusieurs Maires avaient choisi de souhaiter une bonne année à leurs concitoyens. Je me suis rendu à ceux de Saint-Bonnet-de-Mure où j'ai retrouvé avec plaisirs mes amis Jean-Pierre Talut et François Denissieux, élus municipaux tous les deux.
Le Maire m'a donné la parole ce qui m'a permis d'adresser de vive voix tous mes voeux aux personnes présentes. Je me suis ensuite hâtée pour prendre part à la fin de la cérémonie à Jonage. Au-delà de l'aspect formel de ces rencontres, j'apprécie ces occasions d'échanger avec les élus et les habitants sur les dossiers de leurs communes. J'espère ainsi que 2007 apportera à chacun les plus grandes satisfactions.

vendredi 12 janvier 2007

Conférence sur la Citoyenneté européenne


Hier, la Ligue des Droits de l'Homme organisait une conférence sur le thème de la Citoyenneté européenne. Jean-Pierre Dubois, Président de la L.D.H. et Professeur de Droit Public accueillait notamment Benoît Hamon, Député européen et José Rebelo, Professeur de sociologie à l'Université de Lisbonne. Ces brillants intervenants ont permis un débat de grande qualité.
Vous pouvez retrouver des informations complémentaires sur le site de Benoît Hamon : http://lefil.blogs.com/benoithamon/

jeudi 11 janvier 2007

ZAC Berliet


Mercredi soir, lors du Conseil de la Communauté Urbaine de Lyon, je suis intervenue au nom du Groupe Socialistes et Apparentés sur le dossier de création d'une ZAC sur les anciens terrains de l'entreprise Renault-Trucks. J'ai notamment pointé les enjeux d'un aménagement maîtrisé de ce site industriel de grande superficie. Voici le texte de mon intervention.
"Monsieur le Président, chers Collègues,
Au rang des réalisations prioritaires parmi les grands projets d’aménagement de notre agglomération, figure en bonne place, l’urbanisation maîtrisée des secteurs Berliet et Revaison à Saint-Priest.
Je veux saluer, à cette étape, l’aboutissement du processus de création de la ZAC. Les premières réflexions portant sur ce site stratégique et privilégié, ont débuté dès 2000, à l’appui d’un partenariat soutenu entre le groupe Renault Trucks, la ville et le Grand Lyon.
Lors d’une précédente séance, le 1er mars 2006 au cours de laquelle j’avais présenté le rapport relatif à l’ouverture de la concertation préalable à la création de la ZAC, vous aviez, Monsieur le Président, signifié l’intérêt de toute première importance que vous accordez à ce dossier.
Les éléments constitutifs du programme de la ZAC parlent d’eux-mêmes et résument fort bien, en substance, le pari novateur et raisonné que nous avons pris pour l’avenir.
Sur près de 100 hectares, nous allons réussir, à l’échéance des dix prochaines années, un subtil équilibre conciliant
• l’implantation d’activités économiques, • la construction de logements, • la préservation de la vocation d’un ensemble paysager avec la réserve d’un écrin de verdure, • et l’opportunité d’un équipement public sportif et de loisirs.
Nous veillerons aussi, je veux le souligner afin de rassurer définitivement les habitants sur le sujet, à faire respecter dans le cahier des charges, l’indispensable reconstitution de l’offre des jardins ouvriers.
Avec ce projet phare qui se définit comme une vue d’ensemble aux dimensions à la fois mesurées et respectueuses du tissu urbain existant, nous parviendrons, j’en suis convaincue, au développement harmonieux de la proximité du coeur de la Cité Berliet et de l’entrée de la Porte des Alpes.
Et cela sans bouleversement, ni césure dans la géographie de ce secteur d’habitations. Nous avons d’ailleurs été particulièrement exigeants pour finalement obtenir l’ordonnancement des séquences de construction avec un calendrier lissé dans le temps.
Même s’il est d’ampleur, ce projet reste à taille humaine pour notre ville car nous avons dans toutes les phases de travail, fait primer cette volonté.
C’est enfin à mon sens, un très bel exemple de ce qui doit véritablement exister en terme de concertation. La lecture détaillée des préoccupations et des remarques formulées par les habitants sur les éléments de création de la ZAC, démontre avec force qu’il nous faut toujours être les garants de cette expression démocratique et participative. Pas moins de quinze questionnements au fond ont été abordés.
De ceux qui pensent encore, à tort, qu’il suffit de confier une mission uniquement à des pro-experts pour inventer de nouvelles formes urbaines sans se prévaloir de l’avis des habitants amenés à y vivre, ceux-là se trompent.
Au contraire, je pense qu’il est utile de favoriser toute forme de discussion comme cela a été le cas à Saint-Priest. En complément de la procédure dite de concertation, la tenue de réunions publiques dont j’avais pris l’initiative, a recueilli un véritable succès. Même si l’exercice n’est pas toujours facile, je me félicite du résultat qui est probant avec une participation nombreuse à ces rencontres au cours desquelles la discussion a été riche.
La pertinence des observations améliore inéluctablement les prescriptions supplémentaires intégrées en tant que telles dans l’économie générale du projet.
Nous sommes aujourd’hui placés à l’instant clef du lancement opérationnel de la ZAC Berliet.
J’ai conscience des responsabilités qui sont désormais les nôtres, la ville de Saint-Priest et le Grand Lyon, pour réussir l’une des perspectives audacieuses de notre plan de mandat. Nous assurerons et nous gagnerons ce challenge."

vendredi 5 janvier 2007

Restaurants du Coeur


Depuis septembre 1985, les Restos du Coeur apportent un peu de réconfort à de nombreux exclus. A Saint-Priest, l'association locale est particulièrement active. Avec Françoise Chavagne, Adjointe à la Solidarité et Mireille Rouvière, Conseillère Municipale déléguée aux associations caritatives, nous avons pris l'habitude de rencontrer régulièrement les bénévoles afin de faire le point sur les distributions alimentaires et sur les difficultés de l'association.
Ce matin, je me suis donc rendue au local des "Restos" et nous avons rencontré Madame Piernot qui nous a signalé qu'un concert était prévu à Saint-Priest samedi prochain et qu'une collecte de denrées alimentaires allait être prochainement organisée dans les grandes surfaces de la ville. Ces initiatives sont vraiment utiles comme celle lancée par le Conseil Municipal des Jeunes de Chassieu il y a quelques semaines. En effet, les enfants avaient popularisé l'opération "Donnons une seconde vie à nos jouets" qui avait permis de récolter 1300 jeux et jouets au profit des antennes de Genas, Décines, Saint-Priest et Bron des Restos. J'avais participé à l'approche des fêtes à la remise de ces colis par ces jeunes chasselands à un responsable des Restos du Coeur. Un beau cadeau et un bel élan de générosité pour cette fin d'année 2006 !

mardi 2 janvier 2007

Nouvelle Année


Après une année 2006 bien remplie nous entrons dans 2007 qui s'annonce tout aussi trépidante... Je vous adresse, ainsi qu'à vos proches, mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année. J'espère vous retrouver régulièrement sur ce blogue pour des échanges les plus constructifs possibles. A bientôt.