lundi 31 juillet 2006

Guerre au Liban !


Le Sud du Liban et une bonne partie du Proche-Orient sont confrontés à un déchaînement de violences. Bombardements, tirs de roquettes font chaque jour plus de victimes civiles. Des habitants de l'Est-Lyonnais se trouvaient au Liban au moment du déclenchement de cette crise majeure et j'ai suivi très attentivement la situation.
Une association majolane "Amitié Est-Lyonnais/Beyrouth" est également particulièrement concernée par ce drame et un appel au soutien a été lancé par sa présidente. Attentive de longue date à son action j'ai évidemment apporté ma modeste contribution à cette mobilisation qui peut apporter un peu de réconfort aux nombreux libanais qui pâtissent de ces violences.

mercredi 26 juillet 2006

Quand y'en a plus...


... y'en a encore... Pour la première fois depuis 2002, le Président Chirac n’avait pas convoqué de session extraordinaire de l’Assemblée Nationale au mois de juillet… Après les scandales de la loi d’amnistie en 2002, après les reculs majeurs sur les retraites en 2003, après les renoncements imposés sur la Sécurité Sociale en 2004, après les attaques contre le Droit du Travail en 2005, on aurait pu croire que les vastes mouvements sociaux du printemps et la mobilisation des Françaises et des Français contre le C.P.E. avaient enfin dissuadé le Gouvernement de profiter des vacances scolaires pour poursuivre sa politique clientéliste et ultra-libérale.
Pourtant, l’été sera finalement bel et bien marqué par une session extraordinaire, en septembre, et le Premier Ministre s’attaque, cette fois, au service public du Gaz. Dans un contexte de baisse du pouvoir d’achat et de flambée du prix des énergies, cette volonté de la Majorité U.M.P. de poursuivre la mise en œuvre de sa politique de libéralisation forcenée a de quoi inquiéter. Mes collègues du Groupe socialiste de l’Assemblée Nationale, et moi-même sommes fortement mobilisés contre cette privatisation rampante qui risque d’entraîner une baisse de la qualité du service et de nouvelles hausses des tarifs.

lundi 24 juillet 2006

Privatisation de Gaz de France


C'est confirmé... une session extraordinaire de l'Assemblée Nationale aura bien lieu au mois de septembre afin d'examiner le projet du Gouvernement de fusionner Suez et G.D.F. Cette opération entre l'entreprise publique gazière et une entreprise spécialisée dans le domaine de l'électricité a de quoi surprendre alors que la Droite a tout fait pour séparer E.D.F. de G.D.F. !
J'ai récemment été sollicitée par plusieurs syndicats qui s'inquiètent des conséquences d'un tel rapprochement pour les salariés et les consommateurs... Voici le courrier de réponse que je leur ai fait :
"Monsieur,
J’ai bien noté votre opposition à l’abaissement de la part des capitaux publics dans Gaz de France. Le groupe socialiste, auquel j’appartiens, partage d’ailleurs votre inquiétude concernant ce projet et a déjà pu exprimer son hostilité à cette privatisation.
Ainsi, lors du récent débat parlementaire sur la politique énergétique, mon collègue François BROTTES, Député de l’Isère, a fait part de nos critiques. Il a notamment souligné qu’une telle décision entrerait en contradiction avec l'engagement solennel pris en 2004 par la majorité U.M.P. Cela risquerait également de déstabiliser totalement le secteur de l'énergie en France à la veille d’échéances importantes. Ceci illustre, pour nous, une politique peu soucieuse des intérêts industriels et énergétiques de notre pays.
C’est pourquoi nous avons, à plusieurs reprises, interpellé le Gouvernement lors des séances des questions d’actualité. De même, nous avons déposé le 11 avril dernier, une proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête relative au projet de fusion.
Le groupe socialiste entend mobiliser toutes ses forces pour combattre ce projet et je suis persuadée que nous nous trouverons ensemble pour mener cette bataille au mois de septembre. Vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes sincères salutations.
Martine DAVID"

jeudi 20 juillet 2006

Un bidonville à Saint-Priest


Au coeur d'un été caniculaire, les préoccupations sont de plus en plus fortes concernant le camp de "réfugiés", installé depuis près d'un mois sur un terrain appartenant à la D.D.E. dans le quartier de Revaison. J'ai récemment interpellé le Préfet, le Président du Conseil Général, le Président de la Communauté Urbaine de Lyon et le Premier Ministre sur cette situation qui ne saurait perdurer.
"Monsieur le Premier Ministre,
Je souhaite par la présente, avec beaucoup de gravité, vous faire part de ma très vive préoccupation relative aux conditions de vie au sein d'un campement installé à Saint-Priest, sur des terrains appartenant à la Direction départementale de l'équipement, depuis début mai.
Vous trouverez ci-joint copies des courriers adressés à ce sujet à M. le Préfet de la Région Rhône-Alpes ainsi qu'à M. le Directeur départemental de l'équipement.
L'urgence me conduit à insister sur les conditions sanitaires déplorables – sur un terrain encaissé, sans aucun confort aucune hygiène – auxquelles sont confrontées près de 300 personnes, qui ne manqueront pas de se détériorer encore avec l'installation durable des températures estivales, faisant peser, notamment sur les enfants très nombreux, des risques qu'on ne peut choisir d'ignorer.
La seule intervention bienveillante du C.C.A.S., des services départementaux et d'associations humanitaires ne peut qu'atténuer cette situation consternante.
Outre le devoir de secours qui s'impose à chacun face à la mise en danger de vies humaines, la question qui est posée ici est celle de l'accueil des réfugiés à l'échelle de l'agglomération lyonnaise. On sait en effet que l'ensemble des capacités d'accueil sont saturées et que l'autorité préfectorale ne fait qu'observer les déplacements et les installations toujours illicites, d'une ville à l'autre. Or, des cas identiques ne cessent de se répéter depuis plusieurs années provoquant l'incompréhension voire la colère de la population ; sentiments d'autant plus exacerbés que les communes, isolées et démunies dans leur action, donnent une image d'impuissance.
J'ajoute que, pour accroître encore la complexité du problème, les individus concernés sont entrés en France sous le couvert d'un visa touristique, qu'ils ne sont pas en situation irrégulière et qu'ils seront prochainement citoyens européens de plein droit.
Ma requête est donc double, Monsieur le Premier Ministre, concernant divers secteurs de l'activité gouvernementale, je l'adresse à vous : quelles dispositions peut-on prendre en urgence pour remédier au cas vécu aujourd'hui par Saint-Priest, dans lequel le pire est à redouter ? Mais au-delà, de quels moyens entend-on doter l'agglomération lyonnaise pour répondre durablement à l'afflux croissant de réfugiés ? Qui peut être susceptible selon vous, sur votre instruction, d'initier une réflexion et un travail communs sur ce sujet ? Je précise que je serai pour ma part disposée à y contribuer activement et de façon responsable.
Vous remerciant par avance de vos réponses, je vous prie de croire, Monsieur le Premier Ministre, en l’expression de mes sincères salutations.
Martine DAVID"

lundi 17 juillet 2006

14 juillet à Décines


14juilletHipHop
envoyé par martinedavid

Le 14 juillet, la Mairie de Décines inaugurait son nouveau fronton sur lequel figure désormais la devise républicaine : Liberté, Egalité, Fraternité. A cette occasion les Décinois avaient été conviés à une cérémonie participative qui alliait, chorale des écoles de la commune, démonstration de danse hip-hop et lecture du poème "Liberté" de Paul Eluard. Ensuite, avec Pierre Crédoz, Maire de Décines et un jeune représentant du Conseil Municipal des Enfants, j'ai dévoilé l'inscription qui orne la façade de la Mairie.

Le Poème "Liberté" de Paul Eluard
Sur mes cahiers d'écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J'écris ton nom
Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J'écris ton nom
Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J'écris ton nom
Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l'écho de mon enfance J'écris ton nom
Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J'écris ton nom
Sur tous mes chiffons d'azur Sur l'étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J'écris ton nom
Sur les champs sur l'horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J'écris ton nom
Sur chaque bouffée d'aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J'écris ton nom
Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l'orage Sur la pluie épaisse et fade J'écris ton nom
Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J'écris ton nom
Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J'écris ton nom
Sur la lampe qui s'allume Sur la lampe qui s'éteint Sur mes maisons réunies J'écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J'écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J'écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J'écris ton nom
Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J'écris ton nom
Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J'écris ton nom
Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J'écris ton nom
Sur l'absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J'écris ton nom
Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l'espoir sans souvenir J'écris ton nom
Et par le pouvoir d'un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer :
"LIBERTÉ"
(Paul Eluard)

mercredi 12 juillet 2006

Quel avenir pour l'énergie...


J'ai été récemment sollicitée par des collègues élus de SAINT-PRIEST au sujet du projet de nouveau réacteur nucléaire E.P.R., et plus largement, sur la politique actuelle du Gouvernement en matière énergétique. J'ai ainsi rappelé mes désaccords avec les décisions récemment prises par la Droite et fait part de ma totale vigilance sur cette question.
Madame, Monsieur,
J’ai bien reçu le courrier que vous avez co-signé avec les élus du Groupe « Les Verts » au Conseil Municipal. Il a évidemment retenu toute mon attention. En 2004 j’étais d’ailleurs intervenue pour contester le projet de construction d’un réacteur à eau pressurisée dans la région Rhône-Alpes et je m’étais félicitée de la décision en ce sens du Président de région alors nouvellement élu.
Plus largement, j’avais alors suivi de près le débat sur les énergies, lancé par Mme Nicole FONTAINE, Ministre déléguée à l'Industrie en mars 2003. A cette occasion, je m’étais montrée, comme mes collègues du groupe socialiste, dubitative au sujet des stratégies choisies par le gouvernement. J'avais notamment vivement déploré la réduction des crédits de l'ADEME dans le budget,qui illustre bien le désengagement actuel de l'Etat dans ce domaine.
En effet, je conviens, comme vous, que l'énergie la plus durable est celle qu'on ne consomme pas et je pense que le volontarisme en matière de maîtrise de l'énergie est fondamental. C'est le meilleur moyen de réfléchir et de débattre dans la sérénité aux pistes à privilégier pour un bouquet énergétique suffisant, efficace et respectueux de l'environnement.
Les positions sur l'implantation d'un réacteur à eau pressurisée sont passionnées et j'estime qu'une telle décision nécessite l'étude soignée des rapports contradictoires et un beaucoup plus large débat citoyen. C’est aussi pour cette raison que le Parti socialiste a protesté contre les dates choisies pour l'enquête publique sur la construction du réacteur nucléaire EPR à Flammanville dans la Manche.
Après la garde-à-vue du porte-parole national du réseau "sortir du nucléaire", le débat sur un projet de loi "transparence nucléaire" qui n'a de la transparence que le nom, et la publication de l'arrêté du 24 juillet 2003 classant "secret-défense" toute information relative aux matières nucléaires, le Gouvernement témoigne une nouvelle fois de sa terrible volonté d'opacité en matière nucléaire.
En choisissant de conduire cette enquête publique entre le 15 juin et le 31 juillet il est manifeste que l’U.M.P. cherche à profiter d'un moment où les Français auront la tête ailleurs. Un tel déni démocratique est inadmissible et ne pourra que renforcer les incompréhensions et la colère suscitées par ce nouveau passage en force.
Le Parti socialiste a donc demandé au Gouvernement d'augmenter sans tarder la durée de l'enquête publique, au moins jusqu'en septembre, afin de permettre à tous les points de vue de s'exprimer sans difficulté. Pour ma part, je prends donc bonne note de vos analyses et je vous remercie de cette intervention qui alimente ma réflexion et contribue à mon travail d’élue.
Vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie d’agréer, Monsieur, mes sincères salutations.

lundi 10 juillet 2006

Performance à l'Aviron Majolan


Samedi j'ai rendu visite aux dirigeants, bénévoles et sportifs de l'Aviron Majolan. le Club fêtait la réussite de ses rameurs au cours de la saison écoulée. Jonathan COEFFIC, était notamment à l'honneur après sa victoire lors des finales du Championnat de France. J'avais d'ailleurs déjà eu l'occasion de féliciter cet athlète au moment des Jeux Olympiques d'Athènes puisqu'il avait participé à l'épreuve du "Quatre de couple". J'ai eu l'occasion de rappeler l'importance de telles associations sportives pour l'animation des communes.
N'hésitez pas à visiter le site internet de l'AVIRON MAJOLAN :
http://www.avironmajolan.com/

jeudi 6 juillet 2006

Aéroports : contre les vols de nuit


Plusieurs associations de la 13ème circonscription et notamment l'ACENAS et le CORIAS ont participé à la journée européenne contre les nuisances aéroportuaires et contre les vols de nuit. Sensible à ce combat sur lequel je suis mobilisée depuis longtemps, j'ai relayé leurs demandes auprès du Ministre des Transports, de l'Equipement, de la Mer et du Tourisme.
"Monsieur le Ministre,
A l’occasion de la journée européenne de sensibilisation contre les vols de nuit, plusieurs associations, actives sur la circonscription dont je suis élue m’ont alertée sur cette question. Comme vous le savez sans doute, je suis moi-même extrêmement attentive au problème des nuisances liées à l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry et je vous ai régulièrement fait part de ces préoccupations.
Cependant, je souhaite profiter de cette large mobilisation citoyenne afin de faire un nouveau bilan de l’action de la France à ce sujet. En effet, les vols de nuits sont unanimement perçus comme un problème majeur, tant pour la santé publique, que pour l’environnement. Or, une action volontariste, au niveau européen constitue le seul moyen d’avancer en la matière pour éviter qu’une concurrence déloyale n’apparaisse entre les plateformes.
Je souhaite donc connaître vos intentions, celles du Gouvernement ainsi que les préconisations des services de l’Etat et de la Commission européenne sur cette délicate question. Je vous remercie donc de bien vouloir me faire part des éléments dont vous disposez afin que je puisse en informer mes correspondants qui subissent quotidiennement ces lourds désagréments.
Vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, mes respectueuses salutations.
Martine DAVID"

mardi 4 juillet 2006

Portrait dans Tribunes Socialistes


Récemment un article sur mon parcours militant a été publié par le journal du Groupe des Députés Socialistes de l'Assemblée Nationale.
"De ses parents instituteurs et militants de Gauche, Martine David a hérité l’attachement à un territoire et à ses habitants. Mais ce ne sera pas la Touraine, où elle est née, et pour cause : une rencontre capitale va initier le parcours politique atypique qu’elle suivra dans l’Est lyonnais. En effet, à 23 ans, elle rencontre Jean Poperen, grand Socialiste, professeur de la Gauche, dont elle devient l’assistante parlementaire puis la suppléante à l’Assemblée Nationale.
En 1988, Jean Poperen est nommé au Gouvernement et Martine David entre au Palais Bourbon. Lors des législatives de 1993, elle est reconduite comme députée de cet Est lyonnais (treizième circonscription du Rhône). Rescapée du naufrage électoral à Gauche, de triste mémoire, elle est la seule députée PS du département. Mais, ce défi, comme les précédents, ne l’effraie pas. Habituée à l’endurance sur les terrains de basket du CS Décines, Martine David est une battante. Cette combativité est indispensable pour résister à la Droite et à l’Extrême-Droite qui, à chaque élection, affichent des ambitions. Ce contexte l’a conduit à affronter, entre autres, le leader du FN, Bruno Gollnisch à plusieurs reprises et à lui infliger de sévères défaites.
Elle allie cette combativité à une assiduité sans faille sur les bancs de l’Assemblée nationale. Constance et dynamisme prévalent ainsi dans son travail parlementaire. Elle occupe une place de choix dans la Commission des Affaires Culturelles, Familiales et Sociales, qu'elle n'a pas quitté depuis 1993, ainsi qu'au Groupe Socialiste qu'elle anime aujourd'hui auprès de Jean-Marc Ayrault. Elle a, notamment, toujours lutté pour le respect du devoir de mémoire en défendant la cause des anciens combattants ou la reconnaissance du génocide arménien. Elle a été et reste aussi l’une des députées les plus investies sur les dossiers liés à l’Education nationale et, en particulier, à l’enseignement professionnel. Elle a également participé à la mission parlementaire sur les signes religieux à l’école, à celle consacrée aux savoirs dispensés dans les établissements scolaires ou encore à celle sur les risques liés à l’exposition à l’amiante.
Mais son activité parlementaire à Paris ne lui fait pas oublier le territoire de sa circonscription à laquelle elle reste fidèle. Elue adjointe au maire de Décines en 1989 et en 1995 puis première adjointe au maire de Saint-Priest en 2001, elle devient, elle-même, maire de cette commune après la démission de Bruno Polga en novembre 2003 et s’adapte remarquablement à cette lourde responsabilité. Attachée à la démocratie de proximité, Martine David a toujours su écouter ses concitoyens et défendre ses administrés. Malgré un agenda surchargé, elle consacre beaucoup de temps à les recevoir. Elle suit également de très près la vie associative, culturelle et sociale de sa circonscription. S'imposant des cadences infernales, elle est partout, reconnue, écoutée et respectée.
Elle n’a de cesse de promouvoir sa circonscription de manière indéfectible jusqu’à l’incarner aujourd’hui mieux que quiconque. En pointe pour défendre une juste répartition des atouts et des infrastructures dans l’agglomération lyonnaise, elle fait sans relâche des propositions auprès des acteurs régionaux et nationaux afin de protéger le cadre de vie des habitants. Notamment, elle exige inlassablement un développement maîtrisé de l’aéroport, des équipements routiers, des projets ferroviaires, des zones d’activités et plateformes logistiques qui s’accumulent dans l’Est lyonnais. Femme de terrain, Martine David ne baisse jamais les bras, quelle que soit la difficulté des combats à mener. Pugnace et loyale, elle œuvre pour la modernisation de la 13ème circonscription du Rhône par son sens du contact, du dialogue et du travail en équipe. Sa permanence, toujours ouverte, et aujourd’hui, la mise en ligne d’un blogue participatif (http://www.martinedavid.fr/), sont autant d’outils qui lui permettent d’entretenir un dialogue permanent avec ses concitoyens."